Moulinets 
                                                                  
******
          (En préambule 
            n'oubliez pas que l'on lubrifie toujours un moulinet avec de l'huile 
            minérale style huile de vaseline, huile de machine à 
            coudre, 
          jamais avec 
            de la graisse qui retiendrait les impuretés et le sable, et 
            jamais avec de l'huile végétale "en dépannage" 
            comme je l'ai fait une fois pour retrouver après quelques jours 
            mon Vivarelli poisseux avec les rouages englués dans une espèce 
            de pâte issue de la dégradation de cette huile instable 
            à réserver à la cuisine!!)
          **************    Dans 
la pêche à la mouche, le moulinet est essentiellement destiné à récupérer la soie 
sortie pour éviter qu’elle ne s’emmêle dans les jambes du pêcheur  ou parte 
au gré du courant !Sur 
les trois types de moulinets proposés, manuel, automatique, semi automatique , 
les matériaux modernes, graphite, aluminium, alliages légers ont permis un gain 
de poids considérable tout en préservant la robustesse et en permettant de 
réelles réussites esthétiques !Ils sont constitués par : 
  -Une cage qui est la pièce centrale   ajourée pour raison 
de légèreté avec alors le risque de laisser entrer  sable et de gravier. !Elle 
présente          
-un pied de fixation  sur le porte moulinet          -un 
guide ligne qui doit être à bords mousses, bien orienté et large pour éviter au 
maximum les frottements de la soie à la sortie          
-un dispositif de réception de la bobine     
      -un dispositif de freinage  de la bobine 
qui doit être progressif : il peut s’agir d’un frein à disque, à pression, 
ou  magnétique ou d’un simple ressort à cliquet  
         -un système multiplicateur 
par roues dentées pour certains           
-un dispositif "antireverse" pour les plus sophoistiqués permettant 
à la bobine de lâcher du fil sans avoir à lâcher la 
manivelle  .      
-Une bobine de   large diamètre (minimum 8cm)  et  
de plus en plus souvent aujourd'hui à "gros moyeu"(Large Arbor) 
pour accroitre la vitesse de récupération de la soie; elle doit 
être facilement changeable et verrouillable, ajourée sur sa face externe pour 
limiter son poids et sur laquelle viennent s’enrouler la soie et le backing ,dans 
une gorge à fond plat et non  en V qui doit être étroite pour éviter l’enchevêtrement 
des spires, et entrainée par une manivelle ou une gâchette               
Les moulinets sont conçus pour s’adapter à certains numéros de soie,  numéros 
indiqués par le fabricant ainsi que le backing nécessaire pour remplir au mieux 
la bobine . |   |  Pour 
simplifier, le calcul de la longueur de soie rembobinée à chaque 
tour de manivelle ou à chaque impulsion sur la gâchette est basé 
sur la longueur de la plus grande circonférence de l'enroulement de la 
soie quand la bobine est pleine, ces 2 longueurs sont plus faibles quand la soie 
est sortie et s'accroîssent évidemment au fur et à mesure 
que la soie sortie est récupérée , mais cette "approximation" 
identique pour tous les moulinets permet quand même une comparaison |   |  
   
  
                                                                           
Le moulinet manuel    
                  
 C’est le moulinet le plus ancien, le plus simple et donc 
le plus robuste, il peut être le plus léger (moins de 100g, mais le mien 
ci dessous pèse bobine pleine 172g) et le moins cher, à manivelle, fixé 
verticalement sous la poignée de la canne.     La 
bobine, très facilement démontable et interchangeable, porte en périphérie  
  
 la manivelle qui l’entraîne 
directement(x 1) et la vitesse de récupération est faible,(D=9cm x 3,14 
= 28,2cm) 
 c’est 
pourquoi   il existe des moulinets multiplicateurs, plus lourds et plus chers...le 
meilleur rapport  étant  une multiplication x 2 ou x 3 mais le gain 
peut cependant être insuffisant, et la récupération rapide doit se faire par stockage 
de larges boucles dans la main gauche avant de prendre le temps de rembobiner 
à la manivelle la soie ainsi récupérée! Cette 
faible vitesse de récupération est l’inconvénient  majeur de ce moulinet manuel 
qui  *est 
le seul moulinet qui peut être doté d’un frein réglable fiable, encore 
faut-il lâcher la manivelle fixée sur la bobine pour qu'il entre en jeu , (et 
dont le simple ressort à cliquet, bruyant mais indéréglable est plus ferme 
à l'enroulement qu'au déroulement,)....*et 
le seul à permettre de travailler directement le poisson par l'intermédiaire 
de sa manivelle, ce qui s’impose rapidement prétendent ses inconditionnels, lorsque 
l’on a affaire à un gros spécimen ! Il a donc de nombreux partisans, notamment 
chez les Britanniques et les pêcheurs en réservoir en raison de la taille des 
poissons recherchés Sa simplicité peut en faire le modèle « a priori le moins 
onéreux » et l’on peut s’équiper d’un moulinet simple correct pour moins de 100 
euros mais pour les amoureux des belles mécaniques certains modèles prestigieux 
à l’esthétique très recherchée dans des matériaux d’extrême qualité ne le cèdent 
en rien en matière de prix, même simples, aux modèles plus compliqés                                                                
L’automatique                                    Longtemps 
seule alternative  au 
manuel, cette ingénieuse mécanique a eu ses heures de gloire pour être  désormais 
de moins en moins utilisée et devient donc obsolète mais on ne peut passer 
outre son historique  de 
1929 à nos jours"Juste après 
la guerre, l’américain Shakespeare avait fait des adeptes chez nous avec son prolifique 
Tru-art qui enthousiasma Charles Ritz qui l' avait rapporté des Etats Unis et 
qu'il fit connaître, par l'intermédiaire "d'Au bord de l'eau", en 1936. 
   
 C'est 
à partir de là que Julien Cordel, mécanicien d'aviation, a abandonné ce 
métier du jour au lendemain, estimant que le Tru-art avait une mécanique 
trop brutale, pour se lancer dans la fabrication de ces magnifiques moulinets 
.. Il a déposé un brevet en 1948 pour cet automatique de légende que les pêcheurs 
vont apprécier sous les noms successifs de “Cordel”, “L.Perrot Automatique”, “Blason”, 
puis “Parabolic Automatic” chez Pezon & Michel et “Abeille” chez "la 
Soie" .........puis à nouveau “Cordel” jusqu’à 
la période moderne.  Détail 
amusant: le Parabolic automatic de chez Pezon et Michel est reconnaissable avec 
ses trois mouches de mai sur le capot alors que l'Abeille a trois phryganes, comme 
cela est objectivé sur les photos ci dessous...Ces phryganes 
ayant été confondues avec des abeilles, il a été surnommé ainsi."                   
                    
                          
 Parabolic automatic                 
                 
Abeille et ses phryganes                       
                                                             et 
ses mouches de mai        
                                                                         
 
   
L'entreprise fut osée d'autant plus que l'ensemble des piéces étaient "made in 
Cordel": le plus impressionnant est que cet artisan a lui même confectionné les 
différentes machines pour assurer sa production. Ce qui est remarquable c'est 
que les moulinets n'étaient pas produits a la chaine: le maitre d'oeuvres partait 
de quelques matériaux bruts, les modélisait, suivait un protocole élaboré par 
ses propres soins, assemblait une piéce a une autre, et donnait naissance a un 
seul moulinet, objet de toutes les attentions.  Dans la foulée vont naître 
le Fly-matic (sous licence Shakespeare), l’ Efjic, le Pratic, le Daniel et le 
rarissime Coronet de la maison Saint-Hubert.     La 
carrière du Mitchell 710 a commencé dans les années 60, certains sont encore "en 
service " actuellement                                                                                     Vertical 
ou transversal, ce qui est préférable, il fonctionne grâce à  un ressort 
enroulé en spirale sous une flasque recouvrant la bobine qui le bande en le resserrant 
par sa rotation  lorsque l’on en tire  la soie; son échappement  
est obtenu  par l'action du  petit doigt sur la manette qui détend  
le ressort circulaire qui bloquait l'axe et la  rotation « retour »de 
la bobine ainsi libérée  entraîne une récupération rapide!Fini 
le problème des spires de soie à enrouler de la main gauche pour éviter de marcher 
dessus, l’ allongement de la soie emmagasine, en bandant le ressort, l’énergie 
nécessaire à sa récupération et rien de plus facile que de contrôler en permanence 
la longueur de soie sortie !Mais 
de nombreux et gros inconvénients l’ont fait reléguer  ces dernières années 
à l'avènement de nouvelles technologies:  Ingénieux, 
mais compliqué  son mécanisme est plus fragile et beaucoup plus onéreux 
que le manuel , et il est lourd, 250g en moyenne !A 
l’utilisation, s’il est confortable pour fouetter et récupérer en « standard » 
à distance moyenne, certains ressorts sont un peu durs et un peu « courts » 
pour permettre la sortie de toute la longueur de la soie !Par 
ailleurs, et une fois le ressort à bout de course, il est toujours de possible 
de débrayer grâce à la molette supérieure pour le détendre  sans entraîner 
le rembobinage  mais encore faut-il arriver à le faire assez vite pour éviter 
la casse si un poisson « demande du fil » ! Il faudra ensuite pour 
rembobiner toute la soie sortie « en 2 fois », retendre manuellement 
le ressort après le premier retour ce qui est également possible en "vissant" 
la flasque, mais bien fastidieux en cours de combat !!Enfin 
il n’y a pas, sur ces automatiques, de possibilité de frein réglable, c' est la 
tension progressive du ressort qui en tient lieu, et le poisson ne peut  
être travaillé que directement par la main gauche tenant la soie, sauf 
en la lâchant pour laisser du mou au  poisson en prise alors avec la bobine 
qui le freine au fur et à mesure  que se tend le ressort jusqu'à bloquer 
éventuellement, d'où la nécessité de "débrayer", et en la reprenant 
pour le brider !Par ailleurs il y a très peu de place pour un backing sur la bobine:L'opinion 
de la grande championne américaine de lancer Joan Wulff est très claire:                    
                                         
  Le 
récit de la capture de "la tordue" avec son automatique "Abeille" 
par H Bresson en dit long sur cet inconvénient:                                                                                  
  Il 
est compliqué à démonter, la bobine n’est pas interchangeable, le mécanisme peut 
se bloquer au moindre grain de sable et lorsque le ressort principal se décroche 
il est peu envisageable de réparer au bord de l’eau ! 
le   prix des automatiques 
est toujours resté très élevé (400 euros) et si  ses fidèles l’utilisent 
encore , c’est essentiellement lorsqu’il faut pêcher sans perte de temps des poissons 
de taille raisonnable dans des endroits encombrés , au coup du soir par exemple, 
car il a été détrôné par   
                                                                                       leS  
            Semi AutomatiqueS 
                                                                                                  LE 
            VIVARELLI
                                                                   
              
          Le Vivarelli est né d'un ingénieux système imaginé 
            et réalisé en 1984 par Serge Brun ,un 
            Auvergnat aujourd'hui disparu, grand pêcheur de la Sioule, Président 
            du GPS Sioule et Morge pendant qq années,, à partir d'un klaxon de 
            vélo !
          Son neveu rapporte que son prototype 
            fut emprunté à son oncle sous prétexte de le 
            présenter à un industriel français.....et 
            quelques mois plus tard, exploité par un  Italien, le vivarelli 
            était commercialisé en dehors de toute implication de 
            son créateur qui en a fabriqué de ses mains 15 modèles!CHARLE 
            GAIDY  
            dans son ouvrage "250 réponses aux questions d'un pécheur à la mouche", 
            page 31, fait état de cette vérité
            
            Le 
            mécanisme compliqué de l’automatique est remplacé par une gachette 
            commandée par le petit doigt et 
          dont 
l’action entraîne, par un système de multiplication 
par roue dentée, au moins 3 tours1/2 de rotation de la bobine, 
(D=7cm x 3,14 x 3,5 = 76,9cm)qui 
ensuite  s’échappe et peut même continue à récupérer   par 
sa simple inertie ! On peut ainsi récupérer en  quelques  sollicitations 
du levier  toute la longueur de la soie sortie, très rapidement et sans effort! 
Le modèle innovant a été le Vivarelli qui reste  le plus courant, imité 
ensuite par quelques autres !                                                                             
  A 
peine plus lourd en composite que les plus légers manuels (le mien ci dessus 
pèse bobine pleine 139g, mais il existe un modèle métallique 
plus lourd) il est aussi facilement démontable et sa bobine est interchangeable 
très simplement !
            
          Son mécanisme simple et léger ne 
            comporte qu’un ressort à boudin de rappel du levier et un système 
            d’échappement avec un deuxième petit ressort à boudin, il est cependant 
            plus fragile que le manuel, et peut être bloqué par un grain de sable, 
            mais son accessibilité facilite l’intervention de nettoyage et de 
            lubrification avec une goutte d’une huile fine !C'est dire que 
            son entretien est facile 
                                                                                                                        
            et 
            son démontage facile également
                                             Par 
            contre il possède un frein à considérer plutôt comme un système « anti 
            emballement de la bobine » qui se règle et se serre à l’aide 
            d’une petite clef alène une fois pour toutes avant la pêche.. et 
            ... il ne permet guère mieux  que l'automatique de combattre 
            la prise autrement qu’avec la main gauche qui tient la soie, sauf 
            en la lâchant pour laisser du mou au  poisson en prise alors 
            avec la bobine qui le freine un peu, et en la reprenant pour le brider 
            !
          La "force "de ce frein s'oppose à la sortie de la soie 
            , que ce soit le poisson qui tire ou....le pêcheur lorsqu'il fouette 
            et allonge.....c'est dire qu'un frein réglé pour brider le poisson 
            bridera également le pêcheur tout au long de sa journée de pêche....c'est 
            pourquoi il est en général réglé "léger"...ce qui le rend 
            peu efficace au combat!! 
          Il est relativement cher en 2019, 
            180 euros, la bobine supplémentaire est très chère  
            (80euros) mais c’est, pour 
            les adeptes, une merveille...  pourtant décriée par les tenants 
            du manuel ..qui ne parlent pas de la même chose….car
          en 
            fait les uns et les autres ne pratiquent pas la même pêche  et 
            recherchent des poissons différents, d’où leur désaccord   
            insoluble tant qu’il n’existera pas un «  semi automatique 
            bon marché à manivelle » , si possible  large 
            arbor à frein progressif réglable et…. indéréglable....
          **********************
          
          Les manuels de cette 
            dernière marque suisse Peux, ont une réputation qui 
            n'est plus à faire, 
            
          et récemment a été 
            conçu un semi automatique antireverse baptisé "Fulgor" 
            qui  pèse bobine 
            pleine 192 grammes!! 
             
            c'est en fait un Vivarelli de luxe , métallique, 
          doté du système 
            traditionnel de gâchette ni plus ni moins antireverse"à 
            minima" que tout Vivarelli mais doté d'un frein de qualité 
            facilement règlable en cours de combat , contrairement au Vivarelli 
            , avec laquelle on peut rembobiner très rapidement la soie 
            mais sans pouvoir "travailler" un gros poisson à 
            la gâchette avec la seule force des deux derniers doigts , 
          et sur la bobine duquel on peut 
            rajouter une manivelle.....qui le transforme en manuel.....qui n'est 
            alors même plus démultiplié ni antireverse "à 
            minima" comme tout Vivarelli car pour lâcher du fil il 
            faut lâcher cette manivelle pour permettre à la bobine 
            de tourner en marche arrière puisque que comme sur le Vivarelli 
            elle peut échappe à la gâchette...mais absolument 
            pas à la manivelle...
          
          la 
            multiplication x 3,25 permet pour 1 impulsion de la gâchette 
            3,25 tours de rotation de la bobine, (D=7,3cm 
            x 3,14 x 3,25 = 74,50cm)
          Mais 
            un tour de manivelle ne rembobine, 
            faute de multiplication, que 22,9cm  
                                                                       
                                                                                        
                      
                                                             
                                
            
          Déçu par le fonctionnement comparable 
            au vivarelli, frein en plus, alors que la manivelle le transforme 
            simplement en manuel ce qui ne présente aucun intérêt 
            à mon sens malgré le prix...j'ai fini par le donner 
            au fils d'un ami, excellent moucheur...qui l'a très peu utilisé 
            avant de le reléguer au fond d'un tiroir!! 
          Etonnant de la part de cette marque prestigieuse 
            en matière de manuels!! 
          ************************
           Le 
système antireverse 
est une adaptation des manuels auxquels a e été rajoutée 
une fonction "antiretour" de la manivelle qui ne peut tourner en "marche 
arrière" (sauf si le système est débrayable), alors que la bobine tourne, 
elle, pour libérer la soie à la demande, plus ou moins facilement selon 
le réglage du frein qui se fait plus ou moins aisément en action de pêche:Au 
combat il est ainsi possible de continuer à mouliner 
ou au moins de garder en main la manivelle 
sans risquer de casser car, si le frein est bien règlé, 
lorsque le poisson tire vraiment, la bobine lâche du fil sans que la manivelle 
ne tourne en marche arrière....et vous casse un doigtIl 
est évident que frein à la sortie de la soie s'oppose également 
au pêcheur lorsqu'il allonge sa soie en fouettant mais Dieu merci, compte 
tenu des frottements sur les anneaux et de l'action de la canne le règlage 
du frein pour s'opposer à la traction du poisson reste pour le pêcheur 
assez peu contraignant à cet égard......mais s'il fallait le règler 
pour brider un poisson de 10 kg(on peut rêver, non??), ...la sortie de la 
soie deviendrait problématique, encore que l'on puisse modifier le règlage 
au cours du combat!.J'ai 
fait l'expérience en 
Laponie   
en 2008 avec mon Thierry Haart acquis depuis 
peu(ci dessous), de ferrer le dernier 
jour samedi 9 au matin à 6 reprises 
de gros ombres (j'étais tombé sur un troupeau de 6 suicidaires!) 
, puis de fermer les yeux et de mouliner sans cesse sans jamais lâcher la 
manivelle......pour sentir que je récupérais quand le poisson se 
laissait faire ..et que la bobine "échappait" bien à mon 
contrôle et à la manivelle pour librer du fil lors des rushs, ........jusqu'à 
ce que le poisson arrive à mes pieds ........Tout est dans le règlage 
du frein que l'on peut modifier à la demande par la roue moletée, 
et quoiqu'en disent les inconditionnels du manuel simple avec lequel ils sont 
obligés de lâcher la manivelle pour libérer la bobine quand 
le poisson demande du fil, au risque de faire casser un doigt, et freinent éventuellement 
la bobine avec la paume de la main, le combat est tout aussi excitant.... l'essayer 
c'est l'adopter......à condition d'avoir le" budget pour"..aux 
alentours de 500 euros...car
                    
                        Ces 
            modèles sont évidemment  plus onéreux, et proposés par  
            plusieurs  
            marques prestigieuses  , et notemment le  
             
             Thierry Haart 
            ,500 
            euros, métallique, acquis en 2007, avec lequel j'ai découvert, 
            commee narré ci-dessus, les avantages du système antireverse 
            avant de subir quelques ennuis car il devenait "dur"après 
            chute à l'eau, non recommandée j'imagine mais quasi 
            inévitable un jour ou l'autre pour un moulinet de pêche 
             
            Il 
            s'agissait d'un TH 5 qui ne semble plus exister, et c'était 
            le N°1 dont j'ai sans doute "essuyé les plâtres"...ceci 
            expliquant sans doute les quelques déboires transitoires d'un 
            mécanisme pourtant génial dont le succès actuel 
            ne peut être usurpé d'autant qu'il est garanti 5 ans!! 
            *Le mien ci dessous pèse 133g bobine pleine, prototype destiné 
            à devenir mais pièce de musée.....???  
            Je viens de me mettre en rapport ce 25/10/2021 avec l'entreprise qui 
            accepte de le "réviser" car j'aurais plaisir malgré 
            son âge à le retrouver aussi fonctionnel que dans sa 
            prime jeunesse où il a fait mon bonheur!
          la 
multiplication x 3 permet également pour 1 tout de manivelle 3 
tours de rotation de la bobine, (D=9cm x 3,14 x 3 = 84,78cm)
 
  
  
                              mais 
également le
          
                                                         
          Reçu 
            récemment (2014), métallique, plus large, plus aéré 
            que le précédent, moins "massif" pour 117g,(le 
            mien ci dessus pèse bobine pleine, 147g) et moins cher (359euros)...il 
            est esthétiquement très séduisant au prix 
            peut être d'une apparente plus grande "fragilité"...mais 
            son frein est doux, précis et progressif, sans comparaison..le 
            ratio de démultiplication de 1/3 est parfait......
          la 
multiplication x 3 permet également pour 1 tour de manivelle 3 
tours de rotation de la bobine, (D=10cm x 3,14 x 3 = 94,2cm)et 
le démontage possible comme pour le précédent sans aucun 
instrument....enfin, délibérément trempé dans l'eau....il ne présente aucue modification 
de son fonctionnement qui reste "tout en douceur"!! La perfection existerait elle??? 
 
                                                
          NB:Au 
            bout de 3 ans, ce Galaxy que m'avait assez peu servi et qui n'avait 
            pas été maltraité est devenu également 
            un peu "dur", un peu "grippé" avec une 
            certaine résistance au rembobinage comme s'il y avait un frottement 
            par "à coups".....tout ceci persistant après 
            démontage, nettoyage et lubrification!! 
            Contrarié par ces constatations je me suis informé pour 
            apprendre que le SAV de JMC était très apprécié 
            et je l'ai donc contacté par téléphone avant- 
            de lui envoyer, comme demandé par mon interlocutrice, le 13/10/ 
            2017 l'objet de mon désarroi accompagné d'un courrier 
            explicatif....et je reçois ce 21/10 un moulinet en parfait 
            état de marche au point que la bobine, une fois lancée 
            par la manivelle ensuite lâchée, tourne parfaitement 
            de plusieurs tours "en roue libre" ...disparu le "frottement" 
            , tout est rentré dans l'ordre.....pas un mot d'explication, 
            dommage ..mais pas de facture non plus, même pas pour le prix 
            de l'envoi en colissimo...chapeau!
          Je 
            vous donne 
            l'adresse : Mouches 
            de Charette 420 rue Lavoisier 01960 Peronnas ..Tel:04 
            74 24 22 73           
                 
             
          Jmc 
            comet -    pour moi encore à tester- 
          Reste 
            donc à inventer 
          *un 
moulinet à système Vivarelli" banal à 
gâchette pour récupérer rapidement la soie excédentaire, *mais 
avec en plus une manivelle vraiment  antireverse 
comme sur le Thierry Haart et le Galaxy pour travailler confortablement en toute 
sécurité un gros poisson,  *et doté d'un frein très 
progressif de la qualité de celui du Galaxy facilement règlable 
en cours de combat ... et 
pourquoi pas...léger et bon marché, donc en composite et non en 
métal "précieux"...on peut rêver, non??  A 
vos tables à dessin!!                                   
                                                                                                                                      
                            
             
                                   
                
                                             
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